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Recherche par lecteur : Françoise Majesté

42 résultats. Page 3 sur 3.

Durée:12h. 39min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:26879
Résumé: Le débat sur l'identité nationale est refermé, la Maison d'histoire de France est enterrée. Mais comment prendre congé des idées fausses que continuent à défendre les tenants d'une continuité mystique de l'identité nationale ? En démontrant que la question des origines de la France est une invention des historiens du XIXe siècle, Sylvain Venayre propose une sortie élégante et savante de cette controverse typiquement française. Car l'écriture de l'histoire de France a connu un bouleversement décisif au lendemain de la Révolution. Les rois détrônés, le peuple tout entier en devenait l'acteur central. A ceux qui voulaient désormais écrire cette nouvelle histoire, une question fondamentale était posée : de quand date la France ? D'Augustin Thierry à Ernest Lavisse, en passant par Guizot, Michelet ou Vidal de la Blache, il n'en est guère qui, des années 1810 aux années 1930, y échappèrent. En dix brefs chapitres suivis d'une brève anthologie de textes, cet essai à l'écriture alerte retrace l'extraordinaire floraison des théories sur les origines de la France. On y croise les Francs, les Gaulois, les Celtes, les Romains et toutes les métaphores - l'arbre généalogique, les racines, le germe, la nature, le baptême, le sol, le sang... - utilisées jusqu'à nos jours. Si, dans les premières décennies du XXe siècle, la « hantise des origines » cesse de passionner les historiens, elle ne continue pas moins d'irriguer les discours politiques.
Durée:12h. 50min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:26063
Résumé: La cathédrale de Bourges a été inscrite par l'U.N.E.S.C.O. sur la liste du patrimoine mondial comme chef-d'oeuvre de l'architecture gothique. Ceux qui décidèrent ensemble de la construire archevêques, chanoines, bourgeois, peuple de Bourges et du Berry, n'avaient évalué ni leurs forces, ni leur argent, ni le temps. Ils savaient seulement qu'ils entreprenaient une oeuvre immense, qu'ils en vivraient, qu'ils en mourraient. Ignorant l'issue de leurs efforts, ils continuèrent, courbés sous le poids du chantier gigantesque qui dépassait toujours leur mesure. Sous ce fardeau, ils vivaient leurs vies d'hommes ou de femmes, leurs moments de passion et ceux de détresse, leurs amours et leurs ambitions. Ils subissaient aussi les heurts d'une époque où le Berry connaissait la guerre, où le royaume luttait pour exister, et où l'archevêque de Bourges exerçait une primatie difficile sur les diocèses cathares du Midi.